Analyse des impacts géopolitiques

Contexte géopolitique avant la catastrophe :





À cette époque, les échanges internationaux n'étaient pas fréquents car le seul moyen de transport pour traverser les océans était le bateau. Par contre, sur un plan local, la ville de Pompéi était très influente. De plus, elle faisait des exportation vers les villes voisines et elle était située à l'embouchure du fleuve Sarno, ce qui force les citées voisines à passer par Pompéi pour le commerce maritime, qui fait donc partie d'une route commerciale importante.



Le Vésuve et sa végétation.

À vraie dire, à l'exception de son sommet cendreux, le Vésuve était entièrement recouvert de terres fertiles à cause des coulées volcaniques très riches en minéraux. La majorité de ces terres étaient utilisées pour des vignobles, ce qui était très attrayant et poussait les gens à emménager au pied du mont. Malgré cela, l'agriculture était diversifiée, ce qui augmentait ses échanges commerciaux avec les autres villes. C'est pour cela que l'économie des villes n'ayant pas été décimées c'est retrouvée anéantie.

Bien entendu, plusieurs villes étaient dépendantes de l'agriculture ayant lieu sur les pentes du Vésuve, entretenu grâce au travaux des habitants des villes voisines. Ces communautés ce sont donc évidemment retrouvées en pénuries de nourriture car tout ce qui constituait le réseau agricole à été détruit (terres, animaux, moulins, main d'œuvre, etc.)



À cette époque, Rome était encore en temps de conquête. Mais Pompéi a été prises par les romains vers 80 av. J.-C. Ce qui signifie qu'il n'y avait pas d'armée défensive. Par contre, lors de la conquête de cette région, les romains qui ont pris possession du village pour y habiter étaient 2000 militaires. De ce fait, on peu en déduire que Rome étant fort sur tout ce qui concerne l'armé, il y avait probablement des militaires nationaliste.





Pompéi (les restes)



Comme ça l'est écrit plus haut, à cause de l'emplacement géographique favorable de Pompéi, toutes les activités reliées au commerce et au trafic maritime sont en expansion. C'est la ville, dans toute la région qui se développe le plus rapidement grâce à son rôle dans le marché économique, qui contrôle les échanges maritimes et s'occupe de plusieurs étapes de la chaine agricole (entretien des terres, plantation, récoltes, transformation, vente, exportation, etc.) Cette économie se développe si bien qu'elle cause une augmentation de la qualité de vie de la plupart des classes sociales de la ville, dont celles des commerçants et des entrepreneurs qui font la fortune de Pompéi. Il y a également eu une croissance démographique beaucoup plus rapide que pour ses voisins, ainsi qu'un embellissement de la ville qui pouvait faire des réparation et même des décorations comme des statues. Sans compter que les nouveaux riches ont affichés leur argent à l'aide de grandes demeures et d'objets de valeur.



Pour ce qui est du type de gouvernement, c'est à l'époque de l'empire romain. Ce type de gouvernement ne touchait pas beaucoup les habitants de la région car ils étaient responsable de l'argent qu'ils gagnaient selon leur profession et n'étaient pas contrôlés. Il avaient probablement des impôts à payer.

La région de Pompéi n'était pas en guerre, elle avait été conquise par les romains depuis bien longtemps avant sa destruction et était une ville paisible avec une économie qui se développait très bien ce qui appuie le fait quelle n'était pas en guerre.

Pendant longtemps avant sa destruction, la ville de Pompéi se démarquait des autres. Elle avait un assez grand réseau agricole pour pouvoir exporter des ressources aux villes voisines mais également par bateau dans des lieux plus lointains. De plus, elle avait un contrôle totale du fleuve Sarno, ce qui implique qu'elle décidait quand le trafic maritime avait lieu, qui importait et exportait par voie maritime et la ville pouvait exiger des taxes pour utiliser le fleuve. C'est pourquoi cette ville était une puissance dans la région, bien placée pour aider les autres et elle l'a démontré dans sa croissance plus rapide que ses voisins.

Cette ville était au centre d'une riche région que les gens de cette époque surnommaient <<Terre des dieux>> à cause de sa fertilité, de son climat et de sa proximité avec la mer. Cette ville était perçue comme riche à cause des maisons somptueuses et des objets de valeur que les habitants riches achetaient.

 Contexte géopolitique après la catastrophe :

Après la catastrophe, tout la région touchée par le volcan a été décimée. Certaines villes ont pu être reconstruites mais ce n'est pas le cas de Pompéi et Herculanum. À ces endroits, il n'y a plus rien car ces villes sont ensevelies sur plusieurs mètres de cendres. Les terres agricoles et les vignobles ont été détruits. Il n'y a plus de port car le rivage c'est éloigné vers l'eau. Les échanges commerciaux ont changer considérablement. La seule choses qui n'a pas changer c'est le gouvernement.

Le pays était considéré comme une terre d'abondance à cause de sa fertilité mais après l'éruption personne n'aurait pu se douter que les cendres volcaniques sont la cause de cette terre riche en minéraux. Les gens ne voyaient pu aucuns attraits à aller habiter au pied du volcan puisque qu'il était devenu désertique et vu son danger.

Après la catastrophe, il est évident que beaucoup de choses ont du êtres réorganisées. L'économie a surement été revue parce qu'une grande partie du développement économique se faisait grâce à l'agriculture du Vésuve. De plus, toutes les exportations et importations on dût changer car Pompéi et les autres villes entourant le Vésuve étaient les principaux producteurs et exportateurs de la région. C'est donc pour cela que les gens ont surement changer leurs habitudes de consommation en mangeant différemment et leurs habitudes de vies car plusieurs ont du apprendre l'agriculture et les métiers qui s'y rattachent.

Par la suite, les gens on réalisés l'ampleur des dangers que le volcan représente. Mais quand les terres ont recommencées à être cultivables, les gens ont été attirés par les nombreux avantages économique que cela comporte et avec la mémoire collective, les nouvelles générations n'ont pas pu se souvenir de la violence de l'éruption.





Malgré que les relations avec l'étranger étaient limitées, il ce peut que l'évènement ait mis fin à quelques exportations maritimes, mais cela n'est pas certain car d'autres communautés ont pu prendre la relève.

Certains pays ont surement voulu reprendre le contrôle du fleuve et des exportation, même de l'agriculture. En tentant de devenir les nouveaux dirigeants il y a peut-être eu des conflits mais aucunes informations n'en parle de nos jours.



La mort préfère les pauvres

Maladies chez les pauvres

Les pays pauvres sont souvent la cible des catastrophes de tous les genres, en plus de ne pas avoir les moyens d'y faire face seuls et efficacement. En Afrique, la lutte contre les maladies semble inefficace. Le sida y est la principale cause de mortalité et quand la tuberculose attaque en même temps, les symptômes sont démultipliés. Pour nuire aux recherches, les virus sont de plus en plus résistants aux traitements.

Certaines mesures de prévention on toutefois apportées des progrès, comme la distribution de moustiquaires. Malgré le développement de traitements comme des vaccins, le temps nécessaire à la production serait très long et ils pourraient devenir inefficace. Il ne faut pas oublier qu'une baisse des soins causerait une hausse du niveau de mortalité car beaucoup des gens malades survient grâce aux traitements. Ces gens peuvent mourir des simples maladies comme la rougeole par manque de soins. Ce sont d'ailleurs les jeunes mères et les enfants des pays pauvres qui sont le plus sensibles aux maladies.

Les États <<fragiles>>



Plus la couleur est pâle plus le pays est pauvre.



Pour des raisons financières et politiques, les habitants des pays pauvres se retrouvent constamment à risque de conflits. Surtout dans les bidonvilles géants où la criminalité et le manque d'encadrement laisse la population sans aide. Ces gens subissent donc constamment des pressions. Alors que certaines de ces régions font parties des principaux producteurs de pétrole, ce qui rapporte de grands revenus, leurs habitants sont les plus pauvres de la terre.

Freins au

développement

La pauvreté dans une communauté crée un véritable cercle vicieux. La crise économique mondiale de 2008 est un des pires moments pour les pays pauvres. Si les gens vivent avec moins d'argent que d'habitude et qu'il y a une catastrophe naturelle qui s'ajoute cette crise financière, les conséquences seront frappantes pour les plus démunis. Une catastrophe naturelle peu faire augmenter les prix de la nourriture, du pétrole et de l'énergie ce qui forces les gens a ce priver deux fois plus. Par exemple, le réchauffement climatique empire les conditions de vie des endroits désertiques où l'eau est déjà rare provoquant des conflits.

Agir

Certaines actions favorables pour contrer la pauvreté sont tout simplement disparues avec le temps comme l'envoi d'argent de la part des diaspora à leurs communautés d'origine. Ces contributions financières en moins coupent directement dans l'éducation, la santé, le développement, etc. Tout cela fini par augmenter la pauvreté des pays et le taux de mortalité. L'avenir des personnes pauvres est incertain, ils deviendront peut-être encore plus nombreux en ajoutant l'Asie et l'Amérique Latine aux communautés vivant sous le seuil de la pauvreté, car les ONG pourraient disparaître. Ou bien l'instauration d'un gouvernement mondiale prônant la solidarité concernant l'égalité économique et le développement durable, comme le FMI et la banque mondiale l'ont proposé.

 

GARNIER, Donatien (2010). <<La mort préfère les pauvres>>, L'état du monde 2011, La Découverte/Boréal, p.221-225.

Analyse des mesures d'urgence et de la réaction des gouvernements

Lors de la catastrophe, les habitants n'étaient aucunement préparés car il n'existait pas de définition précise d'un volcan et la mémoire collective trop courte limitait la transmission des phénomènes passés. C'est pour ces raisons qu'il n'y a pas eu de plan d'évacuation d'urgence ou l'aide de spécialistes.

La seule personne a avoir tenté quelque chose est Pline L'Ancien, le premier scientifique a avoir décrit une éruption volcanique. Alors qu'il était avec sa famille, sa femme lui fit remarquer un nuage noir anormal. C'est alors qu'il décida d'aller secourir des amis proches en passant par la mer, car c'était le seul endroit accessible, à l'aide d'un ou plusieurs bateaux (source non fiable). Arrivé à la côte Ouest du Vésuve (près d'Herculanum), il fut incapable d'accoster à cause de la quantité impressionnante de pierre ponce qui flottaient sur l'eau.





Nuée ardente, nuage de cendre, etc.





Il décida donc de se rendre a Stabiae (qui est un peu plus éloigné que Pompéi qui était déjà enseveli) pour accoster. À son arrivée, il réussi à débarquer parce qu'il n'y avait qu'une légère pluie de cendres qui n'inquiétait pas la population. Mais c'est durant la nuit qu'il y eu une grande accumulation de cendres et de pierre ponce, qui commençaient a barrée les portes. Il y eu de nombreux séismes et les habitants se protégeaient de leur mieux, certains se couvraient la tête d'oreillers contre les pierre ponce, car leurs maisons étaient rendues trop dangereuses. Ce n'ait qu'au matin que le Vésuve c'est violemment manifester et les gens ce sont retrouvés dans l'incapacité de fuir car les vents soufflaient vers la côte empêchant de prendre la mer.

 

Pline L'Ancien a noté que les séismes avaient causés des tsunami tellement ils étaient violents. Il est finalement mort à cause de ces difficulté à respirer l'air plein de cendre et aucuns documents précisent si des gens ont étés sauvés. Son neveu, Pline LeJeune a également fait le récit des événements mais à une certaine distances hors danger.

Conséquences socioéconomiques

À cette époque, les habitants de la région de Naples ne reconnaissaient pas l'existence des volcans car ils n'avaient aucun moyen de les représenter ou de les définir. C'est donc en grande partie à cause de la mémoire collective que personne ne c'est méfié du Vésuve, malgré plusieurs signes avant-coureurs qui nous paraissent incontestables. De cette ignorance résulte la mort de tous les gens qui logeaient à proximité du volcan soit 15 000 à 20 000 personnes n'ayant aucune chance de survie.

Pour ce qui est du territoire qui était constitué de nombreuses habitations ainsi que les champs, les vignobles, la végétation et les animaux sauvages, agricoles et domestiques... Tout a été enseveli ! Il ne resta après l'éruption qu'un désert des cendres et des roches volcaniques. Rien n'a pu être conservé pour rebâtir et malgré tout, l'endroit est devenu inhabitable durant de nombreuses années, jusqu'à ce que la végétation repousse des sols très riches en minéraux et que des gens trouvent à l'endroit d'assez grands avantages pour l'économie agricole.

Conséquences physiques

Moulage de chien retrouvé à Pompéi, figé pendant qu'il jouait.

La journée de l'éruption volcanique, il y a eu de nombreuses conséquences physiques. En effet, le nombre d'habitants de la ville de Pompéi a été estimé entre 10 000 et 25 000 individus lors de l'éruption. Ces familles possédant des maisons et des terres ayant été totalement détruites. Dans cette ville, 38% des victimes ont été tuées par les dépôts de cendre et de pierre ponce qui se sont accumulés, soit étouffées dans leurs maisons ou bien morts dans l'écrasement des toits. Le reste des gens ont été intoxiqués par les gazs volcaniques toxiques.



Exemple de coulée pyroclastique éloignant le rivage.



Pour la ville d'Herculanum, les évènements se seraient déroulés différemment. La ville étant plus rapprochée du Vésuve, ce serait la coulée pyroclastique qui serait la principale cause de décès et de destruction. Cette coulée se serait abattue sur la ville en deux étapes en commençant par une vague pyroclastique comprenant les débris légers et fluides qui descendent plus rapidement. En s'écoulant sur le sol sa température à baissée, elle est restée suffisamment chaude pour calciner les matériaux organiques mais est vite descendue. La ville se retrouve donc ensevelie sous plusieurs mètres de débris mais n'est pas pulvérisée. C'est ensuite le flot pyroclastique qui est constitué des matériaux massifs et dévastateurs comme des morceaux de roches géantes s'étant détachés du contour du cratère. C'est ce qui achève l'enfouissement de la ville sous une couche de cendre d'environ 20 mètres soit l'équivalent d'un immeuble de 6 étages, ainsi qu'environ 10 mètres de débris plus lourds. Le rivage de la mer étant à l'origine à 200 mètres de la ville à été repoussé 300 mètres plus loin.

Au total, les archéologues ont estimé le nombre de morts entre 15 000 et 20 000 individus. Les villes entourant le volcan ont été totalement ensevelies et oubliées, car ce n'est que vers les années 1600 que les premières découvertes archéologiques ont eues lieu.

Causes socioéconomiques

À cette époque, les gens n'avaient pas encore de terme précis pour nommer un volcan, malgré qu'ils en connaissaient leur existence car il y a par exemple l'Etna qui se trouve à proximité du Vésuve. C'est pour cela que, 17 ans avant l'éruption, quand un puissant tremblement de terre frappa la région en détruisant bien des choses, les gens n'ont pas pu se douter que c'était une mise en garde, soit le réveil du volcan... Il s'en découlera par la suite de nombreux petits tremblements de terre dans la région, qui répartis au fil des années, firent en sorte d'habituer la population à ces catastrophes.

Par contre, au début du mois d'août 79, les fontaines et les puits se sont asséchées, ce qui aurait du alarmer la population d'avantage. Ce phénomène fut également succédé de nombreux tremblements de terre successifs à partir du 20 août, mais ces éléments n'étaient pas reconnus comme une menace, vue la fréquence régulière de ces derniers dans la région.

La dernière éruption à avoir eue lieu, avant la destruction de Pompéi serait datée de -217 ans, alors qu'en -80 ans, Pompéi est devenue la colonie romaine que nous connaissons, car les riches romains ont chassés de leurs demeures les habitants d'origine, réduisant les chances que quelqu'un sache que la montagne était déjà entrée en éruption.

Présentation de l'évènement et causes physiques

Le 24 août de l'an 79 (certains scientifiques croient par contre que cela c'est déroulé au mois d'octobre) a commencée une des plus meurtrières éruptions volcaniques connue. Détruisant 2 villes complètes et tuant environ 30 000 personnes, le Vésuve qui n'était qu'une simple montagne pour ses habitants n'a laissé le temps à personne de fuir. Situé à Naples en Italie, le volcan est encore entouré de villes malgré son danger.

 Puisqu'il y a eu une série de petits tremblement de terre environ quatre jours avant l'éruption, c'est probablement un déplacement des plaques tectoniques qui a causé une augmentation de la pression à l'intérieur du volcan. Par la suite, une trop grande pression accumulée aurait causé l'éruption.

La gravité et la violence de l'éruption peuvent être expliquer par la fréquence du volcan. En effet, son éruption précédente daterait de -30 ans. En 79, cela c'est déroulé en deux phases soit une éruption très explosives de type plinienne qui a duré 20 heures. Ce type d'éruption est caractériser par des explosions violentes à cause que le magma contiens des substances volatiles comme de la vapeur d'eau et du gaz carbonique. C'est pendant ce temps qu'une pluie de pierres ponce a conservée Pompéi sous 2.8 mètres de profondeur. Il y a ensuite eu une éruption peléenne, causant des nuées ardentes qui ont principalement touchées Herculanum et Oplontis, ensevelis sous de fines cendres.

 

Je tiens à préciser qu'une nuée ardente qui signifie nuage brulant, est composée de gaz, de cendres et de blocs de roches, qui dévalent la pente des volcans à des vitesses allant de 200 à 600 km/h. Elle est également précédée d'une onde de choc pouvant atteindre la vitesse du son, soit plus de 1000km/h, qui peu provoquer l'effondrement d'édifices. Sa chaleur peut monter jusqu'à 500 °C.